Valérie Trierweiler se voit bien ambassadrice de l'égalité des chances
«Ce qui m’intéresse, c’est le début, les enfants, l'égalité des chances», a confié la nouvelle Première dame à la presse. «En France, on fait un peu à sa manière. Il y a une attente, on reçoit énormément de courriers d’associations. Je verrai tout cela au fur et à mesure», a-t-elle ajouté.
Parmi celles qui l’ont précédée à l’Elysée, Bernadette Chirac s'était engagée pour les personnes âgées et Carla Bruni-Sarkozy avait milité pour la lutte contre le sida en tant qu’ambassadrice du fonds mondial de l’ONU.
Interrogée pendant sa visite, Valérie Trierweiler a confirmé qu’elle n’entendait pas renoncer à sa carrière de journaliste. «Je compte bien continuer, même si je ne mesure pas encore toutes résistances qui vont se présenter à moi», a-t-elle dit, «j’ai abandonné le journalisme politique, ça c’est une chose réglée, mais je compte bien continuer».
De sa première visite officielle, la compagne de François Hollande a d’abord retenu sa rencontre avec la Première dame américaine Michelle Obama, qui l’a reçue à la Maison Blanche avec les autres épouses des dirigeants du G8.
«C’est vraiment l’une des personnes qui m’a le plus impressionnée dans toute ma vie. Elle a une présence incroyable, un charisme impressionnant. On se dit qu’elle pourrait faire elle aussi une carrière politique», a confié Mme Trierweiler, qui a remercié Michelle Obama «pour son accueil chaleureux» et «ses précieux conseils» sur le rôle d'épouse de président
source morandini