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grincheuxmarrant
15 août 2012

Valérie Trierweiler soupçonnée d’avoir voulu empêcher la publication de ses photos en maillot de bain

Selon Libération, Valérie Trierweiler aurait tenté d’empêcher la publication par VSD de la photo la montrant en maillot de bain aux cotés de François  Hollande sur la plage du fort de  Brégançon. Le quotidien évoque une intervention de l’entourage de la Première Dame auprès du magazine, ainsi qu’une salve de mises en garde de ses avocats auprès d’autres titres de la presse française.

Tout cela n’est pas malin et n’enjolive en rien l’image de la compagne de François Hollande, souvent dépeinte de manière peu amène par les médias depuis son installation à l’Elysée. Car il y a belle lurette que ce type de clichés, bien anodins, participent d’une sorte de rituel républicain: chaque été depuis le milieu des années 70 et les premières photos d’Anémone et de Valérie Giscard d’Estaing surpris dans les mêmes tenues au bord de la méditerranée, les différents locataires de l’Elysée ont tous eu droit à ce traitement.

D’autant qu’il n y a pas de quoi s’offusquer : chacun s’accordera pour convenir que cette photo de VSD, qui ne dit rien et qui n’a rien de dégradant non plus pour l’image du couple présidentiel, est d’un intérêt iconographique pour ainsi dire nul. En témoigne d’ailleurs le prix de vente, quasi dérisoire, de ce cliché, (compte tenu des prix du marché), pour lequel les médias ne se sont pas véritablement pas battus: aux alentours de 15 000 euros, selon mes sources. C’est-à-dire pas grand chose si l’on s’en réfère à d’autres transactions de ce type quand les journaux roulaient sur l’or.

L’autre aspect non moins croquignolesque de cette non affaire concerne la journaliste Valérie Trierweiler : n’est-elle pas la salariée d’un hebdomadaire, -Paris Match-, qui publie chaque mois d’août, invariablement depuis près de 40 ans, cette même série de clichés prise par une armada de paparazzi tranquillement installée à l’ancre au large du Fort de Brégançon? Des chasseurs d’images du dimanche auxquels il ne manque plus qu’un gyrophare pour se signaler.  Elle connaissait donc les us et coutumes de la profession et a fortiori, les méthodes d’une presse  spécialisée dont elle est censée connaître également les ressorts et les méthodes.

source l'express

 
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grincheuxmarrant
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