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grincheuxmarrant
15 août 2012

Valérie Trierweiler n’évite pas les clichés

Valérie Trierweiler dans les jardins de l'Elysée le 14 juillet 2012 à Paris
Valérie Trierweiler dans les jardins de l'Elysée le 14 juillet 2012 à Paris

People. Deux hebdos affirment avoir subi des pressions pour empêcher la publication de sa photo en maillot.

Valérie Trierweiler ne peut visiblement pas se voir en photo. Et encore moins en maillot. La semaine dernière, plusieurs magazines (VSD, Voici, Closer) ont fait leur une avec des images du couple élyséen se baignant à Brégançon (Var). Au grand dam de la première dame, Paris Match, où Trierweiler est journaliste culture, a également publié le cliché en question. Mais en pages intérieures.

Dans son dernier édito (daté du 9 août), le rédacteur en chef adjoint de VSD raconte qu’il a été contacté par un proche de Valérie Trierweiler avant le bouclage, lui précisant qu’elle n’hésiterait pas à attaquer l’hebdomadaire en justice s’il publiait les clichés. Même son de cloche chez Voici, où l’on évoque «d’amicales pressions» de l’entourage de Trierweiler. A Grazia, où aucune photo de paparazzi n’est pourtant jamais parue, la direction a reçu un fax de mise en garde de ses avocats.

Le hic, c’est que cette susceptibilité jure avec le plan com concocté autour des vacances normales du chef de l’Etat. Chaque étape a donné lieu à des clichés : du départ en TGV première classe depuis Paris, le 2 août, aux bains de foule organisés sur les marchés. Sans oublier les balades sur la plage, où le Président s’est fait prendre en photo, le polo par-dessus la ceinture, à la Chirac, avec des vacanciers ravis.

Cette minipolémique relance la question du statut de la compagne du président. Valérie Trierweiler, qui a tenu à conserver son activité professionnelle, souhaite à tout prix contrôler son image alors qu’elle est devenue une personnalité publique. Et ne peut ignorer que les photos du couple présidentiel en maillot sont un marronnier estival. Elle est sous la loupe des médias depuis l’affaire de son tweet de soutien à Olivier Falorni, tombeur de Ségolène Royal aux législatives de juin.

Lundi, le directeur de cabinet de la première dame, Patrice Biancone, démentait être intervenu et assurait ne pas avoir eu connaissance de quelque plainte que ce soit. Du côté de l’Elysée, on affirmait que le Président ne s’était pas mêlé de la question.

source libération

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grincheuxmarrant
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