La fête du travail doit-elle constituer un enjeu électoral?

Quel toupet de vouloir continuer à nous prendre pour des cons! Comment sarko et sa bande de pantins peuvent s'imaginer savoir ce qu'est le vrai travail. De plus vu la manière donc vivent ces privilègiés, à leur place je ferai profil bas, je ne porte pas des bottes à 1700 euros, je n'ai pas de montre à 55 000 euros et je ne mange ni ne dort dans des palaces. Savent-ils vraiment comment vivent la majorité des français? La France est dans la merde, il est temps que toute cette équipe de bras cassés se cassent comme disait  sarko "casse toi pauvre con"

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L'annonce par Nicolas Sarkozy d'un "très grand rassemblement" autour du "vrai travail" le 1er mai, jour de la traditionnelle fête syndicale, a suscité un tollé à gauche.

Nicolas Sarkozy a créé la polémique au deuxième jour de la campagne d'entre-deux tours en annonçant un grand rassemblement autour du "vrai travail". Que pensez-vous de son initiative? Qu'est-ce que pour vous le "vrai travail"? 

Nicolas Sarkozy chercherait-il à couper l'herbe sous le pied du FN? Le président sortant a annoncé pour le 1er mai un "très grand rassemblement" sur le Champ-de-Mars autour du "vrai travail", alors que traditionellement, chaque 1er mai le FN rend hommage à Jeanne d'Arc. La CFDT a jugé "inquiétante" la tentative de "responsables politiques" de "s'autoproclamer uniques représentants des travailleurs" et de vouloir "détourner l'objet" du 1er mai. Pour François Chérèque, "l'autonomie des syndicats et le sens du 1er mai sont un marqueur dans une société démocratique. Partout où ce respect a été transgressé par les pouvoirs politiques, il y a eu atteinte à la démocratie", estime-t-elle. 

L'annonce de Nicolas Sarkozy a également suscité un tollé à gauche, le PS s'en prenant à son bilan sur le chômage quand d'autres l'accusent de vouloir ratisser les terres du FN. Depuis le début de sa campagne, le président-candidat, qui a dénoncé les "corps intermédiaires" et s'est posé en défenseur de la "valeur travail" par opposition à "l'assistanat", s'en est pris à plusieurs reprises à la CGT et à la CFDT, qu'il a accusées de "faire de la politique" plutôt que de "défendre les intérêts des salariés".

source l'express