Valérie Trierweiler devient la nouvelle cible des news-magazines en France et en Suisse

Valérie Trierweiler est-elle devenue la nouvelle cible des médias ?

Deux exemples ce matin, avec deux news-magazines qui mettent la première Dame de France avec des titres pas forcément sympathiques pour elle ou pour son compagnon François Hollande.

En France, l'Express met en Une une photo de François Hollande avec Valérie Trierweiler et cette question: "Qui est le chef ?"

Et l'Express de révéler que Valérie Trierweler aurait fait virer une commandante de police qui aurait commis une maladresse.

Le 1er avril, lors de son déplacement à La Réunion, sa compagne l'écoute attentivement, en dépit d'une température suffocante.  

Une commissaire de police du SHPH (Service de protection des hautes personnalités) se tient à son côté.

Un brin zélée, la fonctionnaire a sorti une ombrelle et la tient au-dessus de Valérie Trierweilerpour la protéger du soleil, le temps de l'allocution. Madame laisse faire, sous le regard médusé des témoins. 

Pourtant, le 29 avril, elle se fait sévèrement réprimander par la compagne de François Hollande.

La scène a lieu dans les coulisses du palais omnisports de Bercy, après un meeting. Les affaires du candidat et le sac de Madame, qui se trouvaient dans les loges, ont disparu.

La commissaire en prend pour son grade. Plus de peur que de mal: les effets personnels seront retrouvés dans une autre salle. Quelqu'un les a déplacés par mégarde.  

Hasard ou coïncidence, cette policière ne fait plus partie des effectifs chargés de la sécurité du couple présidentiel.

 "C'est Valérie Trierweiler qui n'a pas voulu la garder", assure une source policière à l'Express

En Suisse, le newsmagazine,  l'Illustré va encore en plus loin en osant titrer: "Une peste à l'Elysée".

Et le rédacteur en chef d'expliquer dans son édito:

"Son coup vache envers Ségolène fait dire aux phallocrates qu’on ne peut pas attendre d’un président ne maîtrisant pas sa moitié qu’il tienne l’ensemble d’un pays comme la France.

Sans compter que cet acte de jalousie renforce le lieu commun selon lequel les femmes rivales sont difficilement capables d’élever le niveau au-dessus du crêpage de chignon.

Bref, en voulant prouver à la face du monde qu’elle était une femme libre, la «première compagne» vient de démontrer qu’elle est asservie par ses propres turpitudes.

La France voulait un président «normal», la voilà servie avec un François Hollande empêtré dans une intrigue sentimentale des plus ordinaires. Pas sûr, toutefois, que cela soit cette normalité-là que les Français réclamaient."

source morandi

Comments

[Cerise violette]

Les médias ont trouvé un nouvel os à ronger ...



Ceci dit le passage à l'acte tweeté DE VT en dit long sur son état actuel,elle proche d'un chef-justement - d' état ...Elle n'a pas trouvé ses marques .

Etre initialement l'amante du compagnon de SR puis être la préférée , puis être sur une haute marche , ce n'est pas tout à fait pareil .Qu'a-t-elle voulu ?

Etre une clandestine dans la transgression çà laisse des marques . Ou des tweets ...

pas la peine d'en rajouter contre SR , cela suffit de lui avoir piqué son compagnon de longue date .



Affaire à suivre .

NB le dessin de Plantu sur le dernier l'Express se suffit à lui-même ...



Bonne journée