La dernière nocturne d’Audrey Pulvar
Contrainte de quitter France Télévisions, la chroniqueuse de Laurent Ruquier a enregistré son dernier « On n’est pas couché », diffusé ce soir sur France 2. Ambiance.
Dernière, ce soir, d’Audrey Pulvar en duo avec Natacha Polony dans l’émission « On n’est pas couché » (22h55). La journaliste, compagne du ministre Arnaud Montebourg, quitte France Télévisions, contrainte, au grand dam de Laurent Ruquier et de sa coproductrice Catherine Barma. On la retrouvera peut-être sur une autre chaîne.
Une salve d’applaudissements et de félicitations
L’enregistrement démarre. Ruquier lance à Pulvar : « On a la larme à l’œil ce soir, Audrey. » Puis, à l’adresse du public : « Audrey, elle reviendra peut-être avant la fin de l’année. On compte sur un divorce ou une dissolution avec cohabitation. » Rires. Puis : « Audrey, il faut dire qui nous ne recevrons pas ce soir. » Pulvar, sans se démonter : « Aymeric Caron. » Rire de Ruquier qui précise pour ceux qui auraient raté un train : « Il vous succédera l’année prochaine. » Retour sur l’actualité de la semaine. Polony et Pulvar, qui ont succédé à Naulleau et Zemmour il y a un an, sont en léger désaccord sur les députés écolos. Deux bonnes heures sont passées avec les invités. Il est près de 23 heures. Ruquier a réservé un quiz à Pulvar avant que l’enregistrement ne se poursuive une heure encore.
L’animateur a choisi les bonnes répliques de la saison estampillées Pulvar ; la chroniqueuse doit préciser qui elles visaient… L’animateur achève la séquence en se levant pour lui offrir un gros bouquet de fleurs, dont des pivoines, sa fleur préférée. Le public se lève comme un seul homme : salve d’applaudissements et de félicitations. « C’était une soirée avec beaucoup d’émotion, résume Pulvar, surtout quand le public s’est levé pour m’applaudir. » Tout le monde est parti. Pulvar, Polony, Ruquier, Barma et son adjointe, Laurence Tricoche, terminent la saison par un dîner. Un des convives plaisante : « Tu n’as plus qu’à écrire un bouquin sur ce qui t’est arrivé pour qu’on te reçoive
source le parisien